Le ministère de l’Intérieur néo-zélandais vient de reconnaître que le filtre Internet était maintenant opérationnel et déjà utilisé par deux FAI locaux : Maxnet et Watchdog. Pour Thomas Beagle, porte-parole de l’association Tech Liberty, « c’est un triste jour pour la Nouvelle-Zélande ».
Pour le gouvernement, il n’y a pas matière à polémiquer. Le ministère de l’Intérieur poursuit la promotion de son système auprès des FAI, et tente de calmer le jeu […]
Cette actualité risque en tout cas de relancer les polémiques sur les systèmes de filtrage actifs dans le monde. L’Australie a déjà le sien depuis 2008, et la France s’y met doucement avec Loppsi. […]
http://www.clubic.com/actualite-329940-zelande-surfe-web-bis.html